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i> E s G i n i E i, 145
CONTÉ SECOND.
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LE D E R V I S
ALFOURAN.
x\ L F o u R A N avoit g Igné l'afFcdlion de toute
la province d'Eyraca , par la fainteté de fes
tiiŒLirs , & l'auftcrité de fa vie. Mais perfonne
n'ctoit plus attaché au faint Dervis , que Sanbal-
lad , fils de Sami , marchand de Bajfora , que
fon père avoit delTein d'élever dans fou com-
merce»
L'hommage à^Alfouran , enfoncé dans l'épaif-
feur d'un bois au-delà du fauxbourg de la ville,
étoit creufé dans le roc, fur le penchant d'une
montagne qui s'élevoit à peu près au milieu da
bois» 11 y avoit deux cellules , dont la première
étoit deftinée aux ufages ordinaires de la vie. La
plus reculée fervoit de temple au Dervis : là, il
prioit & s'acquirtoit àes aucres devoirs de la
religion , & des pratiques de fa dévotion par-,
ticulière.
\5n.e petite fource qui couloit de la montagne
Tome XXIX, K

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