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On esl portée le croire, lorsqu'on voit qu'il les multiplie.
non-seulement dans les parties des travaux souterrains les
[dus favorables a leur action, mais encore à la surface du
sol. au bas d'une cheminée qu'il met etl communication
avec la bure d'extraction.
Ici il a a résoudre une difficulté qui résulte de son sys-
tème de conduite de l'air. A cet effet, il fait communiquer
la bure d'extraction , par sa partie supérieure , avec une au-
tre surmontée d'une cheminée; puis il ferme la première
par un plancher présentant au centre deux soupapes semi-
circulaires, garnies de peau de mouton, qui se soulè-
vent pour donner passage aux enflais, et apparemment
une ouverture constamment ouverte pour recevoir la
corde. Biais il esl facile de reconnaître que ce moyen de
clôture serait insuffisant dans une mine où il règnequelque
peu d'activité.
.3. Le troisième moyen qu'il propose pour activer l'aéragc
est connu depuis longtemps : c'est celui qui consiste à in-
jecter de la vapeur d'eau dans la cheminée d'aérage.
4. Le quatrième, aussi bon , mais aussi connu , consiste à
amener l'air le plus près possible du 'front de taille.
Le second mémoire du même auteur a pour but prin-
cipal de faire connaître une nouvelle lampe de sûreté dont
il a joint un modèle : voici les dispositions principales par
lesquelles elle diffère des appareils analogues proposés par
MM. RoberlselDu Mesnil.
!. Le tube qui porte la mèche est soudé à celui qui
Mil de réservoir à l'huile, et celui-ci est. constamment
alimenté par un second tube renfermant une soupape a
lige et renversé sut le premier dans lequel il s'emboîte.
Cette disposition n'est point nouvelle, comme chacun li-
sait, mais son application aux lampes de sûreté est ingé

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