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ffl
ô
l'aria morgue auel domaae
Que tant de belles hiautes
Ne soy ont pour tout partaae ;
Ou un sac pleut Je duretés ,
Quand sur ton himeur revetlie
Je rumine en mon cemnau ,
lu me semll être une pèche
Dont ton camrest le noyau .
lO
^4vec lui dans nos prairies
Tu t en vas oatl/bler 1 ;
Vous /opes comme aeiuv pies ,
■Et moi, je n ose par 1er :
Il tarasse, il fe chatouille ,
Il te torche learoxan ;
£t nundahordcpwie arou/He
Tunie jlanau un coup de poiina
Le Soleil oui Ibnxl la a lace
JV est pas puis ardent cpie nioi ,
Comme im crueux de sas besace
Je me sens jaloux de an ;
^Ju arana 7 Colas aux te lorcpie
Je veuoc pocher les deux yeux ;
Ou du moins en làire un oorjpie ,
Si je ne puis /aire mieux ■
a
San o~ua.y vou-ài Cateroine
Je n 'j/ saurais plus tenir ;
Se crevé dans ma poitrine y
Il /cuit c/ianaer ou firur .
Tu nie prenspour une auche
Parce crue j ai l air ocmn /
Jlais lant a liait va la Cruche
Qu elle se Irise a la fbi »
12
Quand /' aime taie Crtature
Jarru'ijue c 'est tout de von ;
Je suis douœ de ma nature
blutant et pais au 'un mouton. 1
Mais auaruz mon ^Imour soicere
Jfest paye, a ne de rejus ,
Dam 'a lors dans ma Couve
Je suis pir qu ' un Cerfen rus ■
T ,11.

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