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INTRODUCTION. Xj
pour une première leçon , que par ce
chapitre , qui lui semblait tout-à-fait de
circonstance , et la mettait à même de
causer avec sa servante de basse-cour
au sujet de ses poulets et de ses vaches ,
dont elle devait faire l'inspection le len-
demain matin.
Elle lut , page 98 :
N'hoc'h cus-hu quet
habilud ébars el les?
— N'avez vous pas dlia-
bitudes à la cour ?
— Non{répondle lirelon.)
— Je vous en donnerai.
— Faites-moi cette amitié.
— Que vous semble-t-il
de notre cour?
— Cest une des plus ma-
gnifiques du monde.
— Nan.
— Me a roio d'eoc'h.
— Grit d'in an amitiè-ze.
— Petra seblant d'eoc'h
eus hon lez ?
— Beza ez eo unan euz ar
magnilîca zo ar bed.
Craignant de s'être trompée , la dame
tourna le feuillet :
— Quand partîtes - vous
de Paris ?
— Il y a quinze jours.
— Où était le roi ?
— Il était à Versailles.
— Avez - vous vu noire
ambassadeur?
— Oui , il a fait une belle
entrée.
— Avez-vous été en notre
cour, voulez -vous m'y
mener ?
— Je le veux bien.
— Peur e partijoc'h-hu
a Baris ?
— Pemzek dez zo.
— Peleac h edo ar roue?
— E Versailles e oa.
— Guelet hoc'h eus-hu
hon arabassadour?
— Ya , gret en deus eun
entre gaer.
— Bet ouc'h hu en hon
lez? G'houi euleur va
c'has d'y?
— Contant houn.

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