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XV. MEMOIRE ADRESSE A L'ACADÉMIE
près le même principe que je viens d'indiquer pour la
partie grecque.
La troisième division contient les mots qui se rappor-
tent au français, à l'exclusion du latin et du grec; et dans
le cas où les rapports avec ces langues seraient trop éloi-
gnés, je ne mets ordinairement sous le français que les
mots analogues en italien. Gela suffît pour l'objet que je
me propose. On peut facilement y suppléer pour les au-
tres langues néo-latines; leur insertion m'eût mené trop
loin.
La quatrième partie comprend les mots celtes qui cor-
respondent à l'anglais. J'y mets assez souvent l'indication
que ces mots se trouvent aussi en flamand ou en alle-
mand, mais je ne les spécifie pas toujours, pour abréger.
Ces langues celtiques proprement dites sont ainsi ran-
gées par tribus les unes au-dessous des autres , dans la
même colonne. La place de cbaque langue est toujours
gardée , afin que d'un coup d'œil on puisse constamment
voir jusqu'à quel point la racine est commune, et où elle
manque.
A la vérité, elle ne manque pas toujours quand elle
n'est pas marquée; il arrive quelquefois qu'elle existe et
qu'elle m'est échappée: cependant, comme ce cas est re-
lativement rare, le tableau que je présente est suffisam-
ment exact.
On s'est ordinairement contenté, dans la comparaison
des langues, d'un assez petit nombre de mots, pourvu
qu'ils fussent choisis dans la classe de ceux qu'eu général
on n'emprunte pas, c'est-à-dire ceux qui représentent les
idées el les objets les |)lus usuels. Ola suffît pour un pre

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