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iv. INTRODUCTION
l »< boue les i tes de la Haute Ecosse, et plus nettement
encore <|u' Ossian cei homme «Donnchadh Bàn) est incontest-
ablement celui Joui les traits d'origine celtique sautent aux
yeux. 11 est in ; en tous points, du pays des montagnes autant
que la bruyl re pourpre des coteaux; c'est un nls parfait des
montagnes, intègre, absolu, sans qu : aucune manière ou
qualité des Basses-Terres ait troubié lunite naturelle et le
caractère complet de son type."
" Je serais surpris d'apprendre qu'il existe en une langue,
ancienne ou moderne, un poème plus original, du genre que
nous pouvons appeler " de vénerie " que celui de Bcinn-
Dòbhrain de Duncan Bàn. Ce que Landseer a fait en peinture
pour les animaux en général, Mac Intyre, dans ce travail
singulier l'a fail pour les cerfs et les daims.''
Language and Literature of the Highlands of Scot-
land ; p. 156. J. S. Blackie, LL.D., Prof, de
grec, Université d'Edimbourg.
' Il pourrai! être profitable aux habitants des Basses-
habituéa à lire les poètes d'élite et à juger toute poésie
d'aprèi l< or modèle, de se détourner et de prêter attention à
une poésie entièrement différente de celle de l'Angleterre, de
mi de la Grèce : une poésie aussi spontanée que le chant
des oiseaux i i 1" battemi ni du coeur humain; une poésie qui
Le partie, indépendante des livres et des manu-
acrits; qui, bienlque plus étroite d'envergure, et
oigneusement finie, est aussi pleine d'émotions et aussi
: la Nature el à L'homme que toute chose contenue dans
les littératures classiques . . .
Dana aucun poème connu, les aspects, les repaires, les
moeurs ci les coutumea des cerfs et dey chevreuils a'oat été

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